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Mathu
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30072016
Les tests de la presse spécialisée

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Test de GameKult

Au même titre que Duke Nukem Forever ou Half-Life 2, Gran Turismo PSP fait partie des Arlésiennes du jeu vidéo. Rappelez-vous, c'était en 2004 : Sony promettait l'arrivée de Gran Turismo 4 Mobile avec le lancement de sa nouvelle console portable (on avait même sa jaquette, aujourd'hui un brin ringarde), avant que le projet ne disparaisse pour mieux laisser Polyphony Digital se concentrer sur Gran Turismo 4 nous disait-on, puis Gran Turismo HD Concept, Gran Turismo 5 Prologue, etc.

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La dernière roue d'un carrosse certes toujours soigné mais fâché avec la ponctualité, ressortie du chapeau de Sony un beau jour d'E3 2009 avec l'annonce de la PSPgo, accompagnée d'un certain Gran Turismo PSP. Cette fois-ci sera la bonne ; mais cinq années après ses premières promesses, le rejeton portable de Polyphony Digital parviendra-t-il à rassembler les joueurs comme au bon vieux temps et sur un support en quête d'une seconde chance ? Sans compter que la suprématie Gran Turismo sur la simulation automobile n'est plus tout à fait la même aujourd'hui qu'il y a cinq ans...

Comme tout bon Gran Turismo, Gran Turismo PSP aguiche le joueur d'entrée de jeu par une bonne vieille vidéo d'introduction fort convaincante car toujours aussi bien réalisée et mise en scène. L'illusion fonctionne un instant, mais le retour à la réalité est brusque : aussitôt terminée, celle-ci s'ouvre sur un menu où réside une série de huit icônes, dont trois uniquement désignant les modes de jeu. "Défis pilotage", voilà qui nous intéressera dans un premier temps, habitués que nous sommes à nous diriger vers les fameux permis de Gran Turismo avant de passer aux choses sérieuses. On en trouvera ici 54 divisés en neuf catégories, auxquels viendra s'ajouter plus tard une seconde série de 48 défis, pour un total de 102 donc. Freinages, slaloms, passages en courbe, dépassements propres, contre-la-montre... Ces épreuves rappeleront aussi sec quelques souvenirs (parfois douloureux) aux amateurs de la saga, qui passeront sans doute un certain temps avant de dégotter toutes les médailles d'or. Là encore, une vieille marotte de Gran Turismo. On ne mettra toutefois pas longtemps à repérer la supercherie ; ces "Défis pilotage" n'ont rien d'obligatoire, d'où une certaine inquiétude. Et c'est en partant à la recherche du mode de jeu principal du titre - habituellement une carrière dans Gran Turismo -, que nos doutes se confirmeront : ce GT-là snobe toute carrière solo et n'offre qu'un simple mode arcade en guise de plat de résistance. Celui-ci renferme bien du contre-la-montre, des courses uniques (en compagnie de seulement trois adversaires), des épreuves de drift (inspirées de Gran Turismo HD Concept) et une sélection de circuits assez complète (35 en tout), mais le contenu paraît néanmoins bien maigre. Où sont donc passées toutes ces années de développement ? Une chose est sûre, on apprendra d'un seul coup à savourer chacun de ces "Défis pilotage", aussi fastidieux soient-ils...

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Lorsque l'on connaît la minutie avec laquelle Polyphony Digital modélise habituellement chacun des véhicules, et le chiffre impressionnant de plus de 800 voitures embarquées, on tend à comprendre pourquoi tant d'années de développement. Pourtant, Gran Turismo PSP déçoit également sur cet aspect, une première pour la saga. Pas tant d'un point de vue finition, même si les voitures aliasent pas mal et héritent d'une vue cockpit fainéante (sans instrumentation, seulement un masque noir représentant le châssis), mais plutôt côté fraîcheur. La grande majorité des voitures proposées sont en effet des modèles allant jusqu'à 2004, d'où un sentiment de vieillot en parcourant ce Gran Turismo. On aura bien droit de prendre le volant de la toute récente Chevrolet Corvette ZR1, de la Bugatti Veyron 16.4 ou encore de la Nissan GT-R Spec V, mais il s'agit là de cas isolés parmi une avalanche de modèles d'ancienne génération. La quantité ne suffit donc plus, tandis que l'on remarquera rapidement le petit subterfuge utilisé par Polyphony Digital pour gonfler la durée de vie du titre. Si le côté collection reste un des points forts de ce Gran Turismo, seulement quatre constructeurs nous ouvriront leurs portes par jour - un jour correspondant à une course ou un segment de "Défis pilotage". Malin. Il faudra de toute façon pas mal d'argent avant de pouvoir se payer l'Enzo Ferrari par exemple, ce qui est synonyme de nombreux tours de piste ou médailles d'or. Heureusement, le nombre de circuits est assez conséquent (35, ou 70 en comptant les variantes), mais on y trouvera peu de nouveautés. Pêle-mêle, citons côté tracés fictifs : les habituels Autumn Ring, Deep Forest, Trial Mountain et Grand Valley Speedway pour l'asphalte ou Grand Canyon, Tahiti Maze et Ice Arena pour le rallye ; Monaco (Côte d'Azur), Le Mans (Circuit de la Sarthe 2005), Fuji, Laguna Seca, Suzuka, Tsukuba et le Nürburgring pour les circuits réels et enfin quelques excursions en ville avec Paris Opéra, Tokyo R246, Seattle, New York et Séoul. Du sérieux et du varié donc.

Carrière absente, liste de voitures un peu vieillotte, pas assez de nouveaux circuits... On ne peut pas dire que la saga de Polyphony Digital se montre sous son meilleur jour avec cette version PSP, largement perfectible sur de nombreux points. Son gameplay sauvera toutefois la baraque avec une transposition réussie du pilotage typique de la série. Sans surprise, il surfe toujours sur ce compromis arcade/simulation assez savoureux, tout du moins lorsque l'on désactivera les différentes assistances (direction, stabilité, motricité et physique de pilotage à basculer en mode professionnel). On retrouvera immédiatement ses marques avec un bon dosage nécessaire de l'accélérateur et des freins - chose pas toujours si facile avec les boutons de la PSP -, sous peine de vilains blocages des roues et de grosses raquettes en sortie de virage avec les voitures les plus puissantes. Attention également aux transferts de masse, toujours aussi piégeurs. Les habitués de la saga seront en tout cas en territoire connu, pas de soucis, tandis que les autres découvriront un gameplay soigné, bien calibré et en adéquation avec le modèle choisi, si bien que l'ennui pointera parfois le bout de son nez avec les véhicules les plus lents. Sur terre et neige, le pilotage se montre moins convaincant, mais les épreuves du genre sont de toute façon assez anecdotiques. Elles seront toutefois bienvenues pour se changer un peu les idées, un besoin que l'on pourra également assouvir en se baladant dans la partie réglages qui permet de s'affairer autour de la puissance, du poids, de l'appui aérodynamique, de la garde au sol, de la flexibilité des ressorts, du pincement, du carrossage et des amortisseurs des véhicules.

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Jouissant d'une réputation d'excellence côté graphique, la saga Gran Turismo marque aussi un peu le pas sur PSP. Globalement, sa plastique s'avère certes plutôt réussie et fluide, mais on observera trop souvent un vilain aliasing, un peu de scintillement au second plan, des raccords de textures grossiers ainsi que du poping, ces éléments du décor qui nous sautent à la figure au dernier moment. Si tout n'est pas parfait, Gran Turismo PSP dispose en revanche de circuits bien modélisés (et bien bosselés) et de temps de chargement très courts sur notre version de test, il est vrai installée sur la Memory Stick (pour un peu plus d'1 Go), une option également proposée dans la version finale. Point ô combien sensible des GT, l'I.A. se montre, elle, une fois encore assez médiocre. Certes, nos adversaires se doubleront entre eux, mais ils font toujours preuve d'un certain manque de réaction et donc de crédibilité. Un élément qui n'aide pas franchement cet épisode à sortir de son côté vieillot, d'autant qu'il ne met que quatre voitures au maximum sur une piste, sans dégâts et sans effets de météo. Et que dire de l'absence de jeu en ligne ? Il faudra en effet se contenter de parties jusqu'à quatre en local en mode "Pro" (standard), "Aléatoire" ou "Pour le fun". Dans le deuxième cas, une voiture moins performante sera attribuée au joueur victorieux de la première partie afin d'équilibrer les chances de chacun, tandis qu'en mode "Course pour le fun", les deux joueurs partiront l'un après l'autre selon leur niveau, toujours dans un but d'équité. Des petits plus qui arriveront à booster un peu la durée de vie, rachitique sans carrière, tandis qu'il est également possible d'échanger et de vendre ses voitures en multi local.

Tout ça, pour ça. Voilà comment résumer de façon lapidaire ce Gran Turismo PSP qui peine à s'imposer sur une plate-forme qui comptait pourtant sur cet appui de poids pour s'envoler. S'il possède bien l'ADN de Gran Turismo comme en témoigne son pilotage et ses 800 voitures embarquées, cet épisode paraît bien trop limité sans carrière, dégâts, météo et jeu en ligne, sans parler de son I.A. encore largement perfectible. Il se dégage du coup de ce volet portable un petit côté vieillot, difficile à avaler après tant d'années de développement et à l'heure où les joueurs de tous horizons continuent d'attendre inlassablement un Gran Turismo 5 que l'on nous promet être la renaissance de la saga. Gran Turismo PSP refroidit donc davantage les ardeurs qu'autre chose pour un épisode qui fait certes office de compagnon parfait pour le lancement de la PSPgo de par son nom, mais pas franchement d'un point de vue ludique.

Note: 5/10



Test de JeuxVidéo.com

Des quatre consoles Sony, seule la PSP n'avait pas encore eu droit à son Gran Turismo. C'est désormais chose faite avec la toute première expérience de la série sur la console portable. Attendue au tournant, celle-ci n'a d'autre ambition que de devenir le jeu de courses de référence sur un support boudé par les simulations auto.

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Auteurs d'exceptionnels Gran Turismo sur les trois Playstation de salon, les développeurs de Polyphony Digital ont enfin pris un peu de temps pour essayer de contenter les amateurs de plaisir portatif. Inspiré des précédents opus, ce titre débarque sans trop de pression sur PSP. En effet, si les jeux de courses se sont accumulés sur la console portable, peu d'entre eux se sont risqués sur le terrain glissant de la simulation. Bien que l'on remette de plus en plus en question l'orientation réaliste de GT, force est de constater que c'est ce qui se rapproche le plus d'une véritable simulation sur PSP. Reprenant fidèlement les mécanismes bien huilés mais quelque peu rigides de ses aînés, Gran Turismo PSP s'adresse en priorité, pour ne pas dire exclusivement, aux fans invétérés de la franchise de Sony. Incomparable à d'autres titres sur ce support, il apporte indiscutablement une expérience de jeu novatrice. Cependant, développée en parallèle de Gran Turismo PS3, cette itération semble avoir malheureusement fait les frais du planning chargé de Polyphony, "contraint" de zapper purement et simplement le célèbre mode carrière du jeu...

Un Gran Turismo sans mode carrière (ou mode Gran Turismo pour les puristes), n'a plus grand-chose d'un Gran Turismo. Tellement improbable, cet "oubli" constitue à lui seul une bonne raison de ne pas craquer pour GT PSP, même en étant un inconditionnel de la série. De manière générale, toute la logique de progression du jeu est à revoir. Une grosse heure passée à réussir les défis que l'on assimile à des permis maquillés suffit à débloquer le générique de fin et des millions de crédits et sabote ainsi tout l'intérêt premier d'un Gran Turismo : une progression lente et par étape, ponctuée par quelques difficultés qui font tout le charme de la série. Ainsi, le joueur peut très vite s'offrir une machine de guerre, sans sueur et sans être passé par les traditionnelles séances de tunning mécanique qui n'existent du reste même pas. Concrètement, on tourne très vite en rond, frustré par le contenu maigrichon du jeu qui se résume à des courses libres, des courses contre-la-montre et des défis dérapages, une sorte de pseudo-drift sans intérêt. En effet, drifter avec des modèles de grand tourisme n'est pas des plus aisé, surtout lorsque l'on doit adapter le gameplay de base assez rigide à une conduite tout en souplesse comme l'exige cette discipline ! Bref, espérer faire déraper une voiture de Gran Turismo tient de l'utopie la plus totale, d'autant que les développeurs n'ont fait aucun effort pour assouplir la maniabilité.

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Cette maniabilité justement, reprend scrupuleusement le gameplay du jeu sur console de salon. Elle divisera mais les initiés retrouveront immédiatement leur marque et une jouabilité propre à la série. Le gros point fort du titre est sans doute d'être parfaitement jouable, à la croix comme au stick analogique, ce qui est en soi un exploit dans la mesure où de nombreux jeux de courses se sont brisés les dents à ce niveau-là. On jouit donc d'une précision extrême dans le choix des trajectoires et immédiatement, les sensations des Gran Turismo reviennent à l'identique. De plus, cette version profite de l'arrivée de deux nouvelles caméras, l'une en cockpit, l'autre sur le capot. Malheureusement, difficile de nous emballer pour l'une ou pour l'autre. Si elles s'avèrent parfaitement jouables, elles sont techniquement bâclées. La première n'est autre qu'un masque rajouté en surimpression, ne profitant d'aucun effet de lumière et omettant même de modéliser un semblant de tableau de bord. La seconde quant à elle, manque énormément de finesse et met en avant les rares soucis techniques du jeu. En effet, en dehors de ces deux faux pas, Gran Turismo est de loin le plus beau jeu de courses de la machine et sans doute l'un des titres visuellement les plus réussis depuis les débuts de la PSP en 2005.

Le reste du gameplay n'offre pas vraiment de surprises et se heurte à quelques démons qui continuent de hanter la simulation de Polyphony. On doit en effet composer avec une IA peu encline à s'adapter à notre présence ou à des conventions oubliées, comme la modélisation des dégâts, la gestion des collisions ou encore la météo. Ne soyons cependant pas trop critiques à l'égard de GT PSP qui fait ses débuts sur cette machine et dont l'essentiel se base sur l'expérience accumulée depuis les débuts de la série et surtout sur les opus PS2, à savoir Gran Turismo 3 et 4. En revanche, ce que l'on ne peut retirer à cette version, c'est de proposer suffisamment de réglages pour que les plus acharnés y trouvent leur compte. Toutefois, on ne trouve pas l'exhaustivité de l'interface de réglages qui sévit sur PS2. Sans doute un choix de Polyphony de s'adapter au public et d'éviter ainsi de rendre Gran Turismo trop élitiste sur une machine censée être utilisée par tous les joueurs possibles et imaginables. Reste que pour faire face à l'IA, ces possibilités suffisent, d'autant que l'absence de tunning mécanique n'incite pas vraiment à passer des heures dans le garage pour ajuster la garde au sol ou la flexibilité des ressorts.

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A défaut de jeu en ligne, les possesseurs de PSP pourront s'en donner à cœur-joie en ad-hoc, le multijoueur en local qui nécessite évidemment de posséder deux machines et deux jeux. Un mode relativement sympathique, d'autant qu'il propose quelques variantes de choix, notamment destinées à combler le fossé qui peut séparer un bon joueur d'un néophyte. Ainsi, en "Course pour le fun", le vainqueur de la course précédente se voit octroyé un handicap sur la ligne de départ, afin de laisser aux autres joueurs la possibilité de le battre. Plus il remporte de victoires, plus long est le délai avant son départ. Idem en mode "Course aléatoire" où cette fois il est question d'attribuer arbitrairement une voiture plus lente au dernier vainqueur d'une course. S'il réussit à enchaîner les victoires malgré tout, le niveau de sa caisse sera encore rabaissé, et ainsi de suite... Enfin, nous noterons que l'argent remporté en ad-hoc peut être ensuite utilisé en solo, d'où l'intérêt des courses "Jackpot", elles aussi, une idée originale du multijoueur, mettant en jeu des sommes bien plus importantes que des courses classiques. Terminons en précisant qu'en multi comme en solo, le nombre de voitures sur la piste est limité à quatre, ce qui, avouons-le, est une petite déception. Un peu à l'image du jeu...

Graphismes 17 /20
En dépit de ses soucis techniques, notamment l'aliasing dont la série ne se défait décidément pas, Gran Turismo est un petit bijou esthétique sur PSP. Réaliste, fluide, fouillé, il impressionne et surclasse toute la concurrence. Dommage que les différentes caméras n'aient pas bénéficié du même soin, surtout la vue intérieure, relativement hideuse.

Jouabilité 14 /20
On retrouve les mécanismes d'un Gran Turismo classique mais le plaisir est quelque peu gâché par l'absence totale de progression puisque les plus gros modèles sont accessibles très rapidement. De plus, le drift est complètement manqué et les épreuves de rallye toujours aussi peu réalistes. Toutefois, difficile de trouver plus proche de la simulation sur PSP...

Durée de vie 11 /20
L'absence du mode Carrière est un sacrilège, une hérésie. C'est toute l'âme d'un Gran Turismo qui a été aspirée par ce choix plus que douteux. Si le nombre de caisses est impressionnant, on est déçu de ne voir que très peu de nouveaux circuits dans cette mouture. Enfin, le multijoueur se limite au local puisqu'aucun Online n'est au rendez-vous.

Bande son 14 /20
Là aussi, c'est assez classique mais relativement plaisant, surtout en vue intérieure où l'immersion sonore est de la partie.

Il aura fallu ses débuts sur PSP pour que la série Gran Turismo commette son premier faux pas. Si les sensations sont là, si la réalisation est impressionnante, le contenu est creux et n'offre aucune rejouabilité digne de ce nom. Certes, cette simulation demeure un titre agréable et réellement différent de la majorité des jeux de courses sur PSP mais sans mode Carrière, GT est un titre bancal, malgré la présence d'un multijoueur en local assez convaincant.

Note: 13/20


Dernière édition par Mathu le Sam 22 Aoû - 16:46, édité 3 fois
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Commentaires

guy3865
au vue du test de Gamekult .. j'ai pas de regret de ne l'avoir pas eu entre mes mains ce jeu sur PSP .... et même si on peut le trouver en jeu d'occasion, je ne le prendrai pas !!! même si j'ai la PSP
R-ONE_97
Je te convaincrais Guy

Je commence juste par dire que GT PSP est un jeu pour amoureux des GT PS2. (PS1 je sais pas j'y ai jamais joué)
guy3865
je doute que tu puisses me convaincre d'y jouer un jour ... écran de PSP trop petit, je n'aime jouer que sur un grand écran de TV ... surtout aux jeux de voitures ...
R-ONE_97
En mettant de côté le critère technique
Juste le jeu
guy3865
si le jeu est aussi bien que sur les PS, je pourrai y jouer mais justement c'est le côté technique qui me fait ne pas vouloir y jouer ... j'avais déjà essayé de jouer à un jeu sur console portative, mais j'avais vite abandonné le jeu .. je ne me souviens plus de quel jeu et de quelle console
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